On a coutume de dire de celles et ceux qui, par ennui ou oisiveté, « tiennent les murs » dans les quartiers qu’ils « rouillent ». Les « dérouilleurs » sont, par...
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On a coutume de dire de celles et ceux qui, par ennui ou oisiveté, « tiennent les murs » dans les quartiers qu’ils « rouillent ». Les « dérouilleurs » sont, par opposition, celles et ceux qui ont réussi à bouger,qui se sont donné les moyens de faire peau neuve, et sont devenus acteurs de leur destinée.
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